Bénin : 03 repris de justice neutralisés à Adjohoun

Les éléments des commissariats d’Adjohoun et d’Azowlissè ont neutralisé trois présumés malfrats le 26 décembre 2021 à Gbékandji, dans la localité d’Azolissè au Bénin.

C’est une fin tragique pour trois présumés malfaiteurs survenue au lendemain de la fête de Noël. Une opération conjointe des commissariats d’Adjohoun et d’Azolissè au Bénin conduit les éléments de police au dernier retranchement des présumés bandits. Ce après les avoir filés pendant une période.

A l’arrivée des forces de l’ordre, les trois individus ouvrent le feu sur les policiers. La riposte qui ne va pas tarder entraine la  mort des trois individus, qui sont des repris de justice, précise BeninWebtv.

Les fats se déroulent en période de fêtes de fin d’année. Un moment d’insouciance de certaines personnes que les malfrats exploitent pour assouvir leurs besoins en argent et en biens divers. Cette période est marquée par l’augmentation des cas d’insécurité aussi bien dans les villes que dans des campagnes. Outre la veille de la police républicaine, la vigilance et la prudence des citoyens s’imposent.

Bénin : Un poste de Police attaqué

Le dimanche  09 février  à l’aube, un poste de police à près de 700 km de Cotonou a été attaqué. Il s’agit du poste de police de Kérémou à Banikoara près du parc national de W, une réserve de biosphère que le Bénin partage avec le Burkina Faso dans le département de l’Alibori.

Aux premières heures de cette actualité, les supputations ont alimentés les commentaires. Pour certains,  il s’agirait d’une attaque djihadiste. Car selon ce qui est distillé dans l’opinion, les auteurs de l’attaque, d’ailleurs inconnus jusque-là, seraient armés et crieraient «  Allah akbar » ; un slogan ou cri de d’alarme utilisé par les terroristes.

Selon une source,  les assaillants, au nombre d’une dizaine, seraient arrivés à moto avant de tirer à l’arme automatique vers 2 heures du matin.

Officiellement, un seul mort est dénombré. Un blessé est enregistré et est  hors de danger à l’hôpital. Pour l’autorité préfectorale du département, toutserait parti de l’installation d’un poste avancé de la Police Républicaine à Kérémou, dans la localité, pour repousser le banditisme et  empêcher des actions non recommandées. Ce qui ne serait pas du goût des hors-la-loi.

Société : Deux personnes tuées dans un braquage à Sèmè-Podji

Des individus non encore identifiés ont abattu jeudi, sur l’axe  Porto-Novo – Cotonou à la hauteur d’Ekpè, deux frères qui étaient à moto, a appris l’ABP de sources concordantes.

Selon les proches des victimes, ces braqueurs visaient le sieur Issa Oumarou, un commerçant spécialisé dans la vente des objets en or. Les malfaiteurs ont tiré à bout portant sur leur victime en circulation aux commandes de sa moto, à quelques encablures du « carrefour Ekpè », ont rapporté des témoins, qui allèguent que la bande aurait supposé que le commerçant abattu détenait sur lui, une forte somme à ce moment précis.

Après leur forfait, ces hors-la-loi ont dans leur fuite, emporté le sac de leur victime, contenant des matériels de travail.

Le frère à Oumarou, lui aussi atteint par balles, a succombé dans un centre de santé, portant à deux, le nombre de morts dans cette attaque, a-t-on rapporté.

« Aucune somme n’a été emportée. Il n’a pas l’habitude de se déplacer avec de l’argent », ont confié les proches de Issa Oumarou, la quarantaine, domicilié de son vivant dans le quartier Ayakpamè à Sèmè-Podji.

Insécurité : Un Malfrat tue un militaire et lui arrache sa moto

Dans la nuit de ce samedi au Dimanche, aux environs de 1h du matin, un militaire béninois a eu le malheur de rencontrer les braqueurs sur con chemin.

Alors qu’il rentrait chez lui, l’homme en uniforme ne pourra rallier son domicile car les hors la loi en ont décidé autrement de son sort. En effet, le militaire a croisé sur con chemin des bandits qui l’on abattu froidement et emporter sa moto.

Selon les recoupements, le soldat s’appelle D.G.  Il est précédemment en service à la section sécurité de la Cour constitutionnelle. Il suit jusque-là un stage professionnel à Bembèrèkè d’où il est venu pour fêter auprès de sa famille à Cotonou. Il est père de 4 enfants.

Une enquête est ouverte pour rechercher les tueurs et élucider cette affaire.

Drame au commissariat de Mane à Boukoumbé

Un fait hors du commun a eu lieu au commissariat de Manta à Boukoumbé. Le lieu de sécurité serait devenu un camp de mort.

Dans la commune de Boukoumbé, département de l’Atacorat au nord du Bénin, un évènement qui n’est pas ordinaire s’est produit.  .En effet, selon certaines informations, un certain Combetti Fidel, interpellé et conduit au commissariat de Manta n’en est pas sorti vivant de ce lieu. L’affaire défraie la chronique depuis quelques jours.

A en croire le frère de la victime,  Combetti Koumba Ferdinard, Combetti Fidèle serait assassiné au commissariat de Manta par des personnes non encore identifiées. Dans son récit, il explique que Fidèle Combetti  qui avait été conduit au commissariat était gardé à vue pour que son dossier soit traité le lendemain.

En attendant qu’il fasse jour avant d’aller au chevet de son frère, on l’appelle à une heure tardive de la nuit pour lui annoncer la mort de son frère qui serait extirpé de sa cellule et abattu par des personnes non encore identifiées. En effet, des individus auraient attaqué le commissariat. Les agents de garde en sous-effectif auraient fui les lieux en abandonnait le détenu à son sort macabre.

A entendre le frère de la victime, la scène qu’il a vu au commissariat était celle d’un crime. Son frère gardé à vue aurait été extirpé de sa cellule avant d’être assassiné et gisant dans le sang. Le lieu de sécurité devient ainsi celui d’insécurité. Ce qui relance la question de la protection des biens et des personnes.

 

Récurrence des accidents de circulation

Au moins 04 cas d’accidents pendant ce week-end. Dans la commune de Toffo, dans l’atlantique un gros porteur dans sa chute a occasionné un mort. Dans le Borgou, précisément à Tchaourou, la collusion entre un véhicule et un motocycliste a entraîné également un mort. Dans les Collines à Pahouignan, l’accident d’un bus a fait aussi un mort.  A Bassila, dans la Donga, un Bus de transport en commun a pris feu et est totalement calciné.

A ce niveau l’étendu du drame est inquiétant. Même si le bilan des dégâts n’est pas encore établi, il n’en demeure pas moins qu’il pourrait enregistrer des pertes en vies humaines et de blessés graves.

Braquages à Biro : Les chasseurs sollicités en appui aux forces policières

L’évolution croissante du nombre de braquages à Biro inquiète de plus en plus.  Et le braquage du mercredi 11 septembre 2019 a fait réagir le chef d’arrondissement.

Selon le récit confié à la radio locale Deeman par le chef d’arrondissement CA, la scène s’est produite entre 19 heures et 20 heures. Le motocycliste avait été surpris par un coup de machette sur le front. Ne pouvant plus se défendre, il tomba et laissa la moto aux malfrats qui se sont évaporés dans la nature.

Informé, le CA Moukouré Soulé Malam a pris les dispositions nécessaires pour que la victime soit transportée d’urgence à l’hôpital. Profitant de l’occasion, il met l’accent sur la recrudescence des braquages dans son arrondissement et invite populations, policiers et chasseurs traditionnels à collaborer pour combattre le mal. « Il va falloir une franche collaboration entre la population et les éléments de la police républicaine. Aussi nous voudrons que l’état puisse composer avec les chasseurs pour bien faire le travail », a-t-il souhaité au micro de Deeman.