L’info en continu

    • jeudi 27 janvier
    • Quarts de finale CAN 2021 : Aucun cas positif au Covid-19 dans l’équipe gambienne

      - 15h17

      Bonne nouvelle pour la Gambie ! Les Scorpions pourront compter sur toutes leurs forces pour affronter les Lions Indomptables qui n’ont pas encore enregistré de défaite sur cette CAN. La Fédération gambienne de football annonce que les 27 joueurs de la Gambie et le staff ont été tous testés négatifs au Covid-19 en vue de la rencontre du quart de finale de la Coupe d’Afrique des Nations le samedi 29 janvier prochain face aux Lions Indomptables du Cameroun.

    • mercredi 26 janvier
    • Can 2021 : Mané pourrait manquer les quarts de final

      - 16h53

      Sadio Mané risque de rater malgré lui les quarts de final de la Can total énergie à venir. Un règlement en vigueur depuis 2018 précise que si une commotion cérébrale est détectée chez un joueur, il ne devra pas reprendre la compétition avant au moins 6 jours, tout en suivant un protocole de retour au jeu sous une étroite surveillance médicale continue.

      Le diagnostic n’était pas finalisé après les huitièmes de finale face au Cap-Vert. Pour l’instant, pas de communiqué officiel. Mais s’il est établi que le choc a causé une commotion cérébrale, Mané ne sera pas autorisé à reprendre le jeu avant 6 jours et sera donc absent en quarts de finale. Dans ce cas, ce serait gros handicap pour le Sénégal.

    • vendredi 21 janvier
    • Mali : la Nation rend hommage à l’ex-président Ibrahim Boubacar Keïta

      - 10h24

      Ce vendredi 21 janvier 2022, la nation malienne rend hommage à l’ancien chef de l’Etat IBK décédé dimanche dernier à Bamako à l’âge de 76 ans. Cette journée marque aussi le début d’un deuil national de trois jours décrété par le président de la transition, le colonel Assimi Goïta. Le programme prévoit ce jour la cérémonie d’hommage et l’inhumation dans le cadre familial de celui qui a dirigé le Mali entre 2010 et 2020.

    • Ghana : trois jours de deuil national suite à l’explosion d’un camion à Bogoso

      - 10h22

      Jeudi 20 janvier 2022, un camion transportant des explosifs a sauté après un accident de la route dans la région minière de Bogoso, localité d’Apiate, à environ 300 km à l’Ouest de Accra. Le bilan provisoire fait état de 17 morts et au moins 59 blessés dont certaines dans un état critique.

      Selon les informations fournies par le gouvernement, le camion chargé d’explosifs appartenant à une société minière est entré en collision avec d’autres véhicules et une moto près d’un transformateur électrique.

      Tous les hôpitaux de la localité ont été mobilisés pour accueillir les blessés et les écoles, pour recevoir les habitants qui ont perdu leurs habitations dans l’explosion. Le gouvernement a décrété trois jours de deuil national.

    • jeudi 06 janvier
    • Tchad : les préparatifs de la rencontre de Doha s’accélèrent

      - 18h03

      Ce chiffre alarmant a été annoncé, ce mercredi 5 janvier 2022, par le porte-parole du gouvernement, Alkassoum Maïga, à l’issue du Conseil des ministres. Cela représente plus de 13% des écoles du pays. Ce chiffre est en hausse constante depuis plusieurs années. « C’est très impressionnant et il y a des motifs d’inquiétude », a reconnu lui-même le porte-parole du gouvernement. En trois ans, 1 300 écoles supplémentaires ont dû fermer leurs portes en raison de la pression des terroristes. Une situation qui concerne plus de 500 000 élèves et près de 15 000 enseignants. Pourtant le gouvernement l’assure, il fait des efforts. Plus de 200 écoles ont été rouvertes récemment, 25 ont été déplacées dans des localités jugées plus sûres. Selon Alkassoum Maïga, plus de 13 500 élèves déplacés internes ont ainsi pu se réinscrire. Rfi

    • Burkina Faso : 3000 écoles sont fermées en raison de l’insécurité

      - 17h58

      Ce chiffre alarmant a été annoncé, ce mercredi 5 janvier 2022, par le porte-parole du gouvernement, Alkassoum Maïga, à l’issue du Conseil des ministres. Cela représente plus de 13% des écoles du pays. Ce chiffre est en hausse constante depuis plusieurs années. « C’est très impressionnant et il y a des motifs d’inquiétude », a reconnu lui-même le porte-parole du gouvernement. En trois ans, 1 300 écoles supplémentaires ont dû fermer leurs portes en raison de la pression des terroristes. Une situation qui concerne plus de 500 000 élèves et près de 15 000 enseignants. Pourtant le gouvernement l’assure, il fait des efforts. Plus de 200 écoles ont été rouvertes récemment, 25 ont été déplacées dans des localités jugées plus sûres. Selon Alkassoum Maïga, plus de 13 500 élèves déplacés internes ont ainsi pu se réinscrire.

    • mardi 14 décembre
    • Burkina Faso : la mission du nouveau gouvernement

      - 17h19

      Le Burkina Faso a un nouveau gouvernement depuis lundi 13 décembre, dans lequel plusieurs ministres ont gardé leur poste, sous la houlette de Lassina Zerbo, nommé Premier ministre trois jours auparavant. Le président Roch Marc Christian Kaboré a constitué un gouvernement de 26 ministres, contre 34 dans le précédent qui avait été limogé le 8 décembre, accusé d’être incapable d’enrayer les attaques terroristes.

       

      Plusieurs titulaires sont toutefois reconduits, y compris dans des ministères clés comme Barthélémy Simporé à la Défense, Maxime Koné à la Sécurité, Lassané Kaboré à l’Économie, a annoncé le secrétaire général du gouvernement, Wenceslas Sanou, à la télévision. L’ex-chef de file de l’opposition Zephirin Diabré est également maintenu au ministère de la Réconciliation nationale et de la cohésion sociale, tout comme Benewende Sankara à l’Habitat.

      Finalement, seuls dix nouveaux ministres font leur entrée dans ce gouvernement, pour 19 départs, certains portefeuilles ayant été fusionnés. Entré officiellement en fonction lundi soir, Lassina Zerbo a appelé à la « cohésion et la tolérance » pour lutter contre la violence jihadiste qui frappe le pays.

      « C’est à l’unisson que l’on pourra être mieux engagé pour vaincre le terrorisme », a-t-il déclaré, lors de la passation de pouvoir avec son prédécesseur Christophe Joseph Dabiré. « Je ne ménagerai aucun effort pour continuer l’œuvre entamée et d’être à l’écoute du peuple. On essayera de contacter toutes les composantes avec l’appui du chef de l’État pour qu’on puisse nous comprendre et gagner la confiance du peuple », a ajouté Lassina Zerbo dans une brève allocution. France24 avec AFP

    • lundi 13 décembre
    • Afrique du Sud : Cyril Ramaphosa testé positif au Covid-19

      - 12h19

      Testé positif au Covid-19 ce dimanche 12 décembre, le président sud-africain souffre de symptômes légers. Le matin même, Cyril Ramaphosa, 69 ans, prononçait un discours en présence d’environ 200 personnes dans une église du Cap pour rendre hommage à l’ancien président, Frederik de Klerk. Sa contamination intervient au moment où l’Afrique du Sud fait face à une quatrième vague épidémique alimentée par le variant Omicron.rfi

    • jeudi 02 décembre
    • Le Burkina Faso réorganise la gendarmerie

      - 17h46

      Les têtes viennent de tomber dans la gendarmerie burkinabè comme s’y était engagé le président Roch Marc Christian Kaboré après les dysfonctionnements révélés suite à l’attaque de la garnison d’Inata, le 14 novembre dernier qui avait coûté la vie à 53 gendarmes. A noter la création de la « Légion spéciale », qui regroupera les unités d’élite de la gendarmerie.

      Une dizaine de nouveaux chefs ont été nommés dont des jeunes officiers qui dirigeront les trois régions de gendarmerie. Il s’agit du lieutenant-colonel Koagri Natama, commandant de la première région, du lieutenant-colonel Jean-Marie Combasseré à la tête de la deuxième région. La troisième région sera commandée par le lieutenant-colonel Rakiswendé Lionid Diabri. Le lieutenant-colonel Evrard Somda prend la tête de la Légion spéciale. « C’est un rajeunissement et c’est très bien pour le management des hommes », soutient une source sécuritaire, rapporte RFI.

      Cette réorganisation pourrait apporter un nouveau souffle à la lutte contre l’insécurité si elle est suivie par de nouvelles nominations au sein des forces armées, selon les observateurs à Ouagadougou. Pour eux, le président Kaboré veut faire de la gendarmerie un outil stratégique dans la lutte anti-terroriste. AFRIMAG

       

    • Burkina-Faso : l’ONU demande de traduire les auteurs d’atteinte aux droits de l’homme en justice

      - 17h42

      Michelle Bachelet est en visite au Sahel. La haute-commissaire des Nations unies aux droits de l’homme a achevé, mercredi 1er décembre, un séjour au Burkina Faso, avant de s’envoler pour le Niger, annonçant l’ouverture d’un bureau de l’agence onusienne à Ouagadougou pour y suivre la situation des droits humains. Et cela, alors que le pays fait face à une recrudescence de l’insécurité due aux groupes armés liés au terrorisme.

      C’est la toute première visite d’un haut-commissaire des Nations unies aux droits de l’homme au Burkina Faso. Au terme de son séjour de quatre jours, Michelle Bachelet a officialisé l’installation d’un bureau avec un mandat complet dans le pays. Cela dans une période inédite de violations des droits humains, notamment liée à la présence des groupes liés aux terroristes d’al-Qaïda et de l’État islamique, ainsi que deux semaines après l’attaque contre des gendarmes et civils à Inata ayant fait 53 morts.

      Durant sa visite, la diplomate chilienne a rencontré, à Ouagadougou, le président Roch Marc Christian Kaboré, des membres du gouvernement ainsi que de la société civile. Elle s’est ensuite rendue à Dori, dans le nord-est du pays, pour s’entretenir avec les autorités locales et des personnes déplacées et réfugiées.

      La haute-commissaire n’a pas manqué de relever les allégations d’exécutions sommaires, de disparition et de violences sexuelles, perpétrées par les groupes armés, mais également par les forces de défense et de sécurité burkinabè. RFI

    • L’Afrique du Sud face l’augmentation des contaminations au variant Omicron

      - 17h38

      L’augmentation fulgurante du nombre de cas de Covid en Afrique du Sud, largement portée par le nouveau variant Omicron, est considérée comme très préoccupante par les autorités sanitaires. « Le degré d’augmentation est très préoccupant », a prévenu Michelle Groome, de l’Institut national des maladies transmissibles (NICD), devant le Parlement sud-africain.

      En deux semaines, le pays a connu une « augmentation exponentielle » du nombre d’infection au coronavirus, passant d’un peu plus de 300 nouveaux cas quotidiens en moyenne sur une période de sept jours à un millier la semaine suivante, et à plus de 3 500 cette semaine, a souligné Michelle Groome. Et la situation va en s’aggravant : mercredi 1er décembre, le NICD a annoncé que 8 561 nouveaux cas avait été recensés en une seule journée, contre 4 373 la veille et 2 273 lundi 29 novembre sur l’ensemble du pays.

      Le pays se trouve « au tout début de sa quatrième vague », préviennent les autorités sanitaires, mais le taux de positivité des tests réalisés a grimpé à 27 % mercredi dans la province de Gauteng, la plus peuplée et la plus touchée, tout particulièrement autour de Pretoria. Jeune Afrique

    • mercredi 01 décembre
    • Nigéria : au moins 29 morts dans un naufrage à Kano

      - 15h23

      Un bateau surchargé transportant 42 passagers, pour la plupart des enfants âgés de huit à 15 ans, a chaviré tard mardi dans l’État de Kano, dans le nord-ouest du Nigeria, a déclaré un porte-parole des services de secours.

      Au moins 29 personnes sont mortes, dont une majorité d’enfants, dans le naufrage d’un bateau surchargé mardi soir dans le nord du Nigeria, et treize autres sont toujours portées disparues, ont annoncé mercredi les autorités locales.

      « Nous avons retrouvé 29 corps entre hier soir et ce matin et sauvé 7 personnes. Les recherches pour retrouver les 13 corps restant sont en cours. La plupart des victimes sont des enfants âgés de 8 à 15 ans », a déclaré à l’AFP le porte-parole des pompiers de l’Etat de Kano, Saminu Abdullahi. Beninwebtv.com

    • jeudi 25 novembre
    • Cameroun : 04 personnes tuées au lycée d’Ekondo Titi

      - 11h40

      la crise séparatiste du Nord-Ouest et du Sud-Ouest Cameroun a encore des morts. Mercredi le 24 novembre 2021, des individus non identifiés ont ouvert le feu au lycée bilingue d’Ekondo Titi dans le département du Ndian, région du Sud-Ouest. Bilan, 03 élèves et une enseignante de français assassinés. De nombreux autres portent des  blessures. Les autorités locales pointent du doigt les séparatistes. Les images relayées par la télévision nationale Crtv montrent les dégâts sur les murs de l’établissement. Sur les réseaux sociaux, les images d’un parent portant le corps sans vie d’un élève, de l’enseignante abattue, d’une foule en larme, font le tour.

    • mardi 23 novembre
    • «Congo Hold-up» : Joseph Kabila et son clan au cœur d’un scandale de détournement de fonds publics

      - 17h56

      La filiale congolaise de la banque BGFIBank fait l’objet de la plus grande fuite de documents bancaires d’Afrique par «Congo Hold-up», un consortium coordonné par le réseau de médias European Investigative Collaborations (EIC). L’enquête publie des révélations fracassantes sur le détournement massif de l’argent public par Joseph Kabila et son clan. 138 millions de dollars ont indûment bénéficié aux frères et sœurs de l’ex-président. Et ce n’est qu’une estimation basse.

      L’enquête soulève des questions sur les bénéficiaires des transferts d’argent et d’éventuels conflits d’intérêts : Le directeur général de la filiale de BGFI en RD Congo, BGFI Banque RDC, de 2012 à 2018 était Francis Selemani, le frère adoptif de Joseph Kabila. La sœur adoptive de Joseph Kabila, Gloria Mteyu, détenait 40% de l’activité de BGFI en RD Congo, qui a été créée en 2010.

    • Côte d’ivoire : effectifs militaires renforcés

      - 17h51

      De retour ce dimanche d’un séjour à Paris où il assistait au Forum sur la Paix, le président Alassane Ouattara a annoncé le recrutement de 3000 soldats l’an prochain. Les rangs de l’armée devraient vont encore gonfler sur les trois prochaines années. La mesure répond aux enjeux de la menace terroriste, qui s’intensifie avec plusieurs attaques de groupes armés dans le nord du pays.

      Prévu dans le budget 2022 du ministère de la Défense, le recrutement de ces 3000 soldats marque la première vague d’enrôlement des 10 000 nouveaux éléments au total censés incorporer l’armée ivoirienne d’ici 2024. L’annonce du président Alassane Ouattara fait suite à la réunion du Comité des chefs d’état-major de la Cédéao la semaine dernière à Abidjan. Les échanges se sont conclus sur la nécessité du partage de renseignements entre les États de la région et leur coordination d’action dans la lutte anti-terroriste.

    • La France appelle en urgence ses ressortissants à quitter l’Ethiopie

      - 17h46

      Mardi 23 novembre, la France a appelé ses ressortissants à quitter l’Ethiopie, où des combats se rapprochent de la capitale après plus d’une année de guerre entre forces gouvernementales et rebelles dans le nord du pays. « Tous les ressortissants français sont formellement appelés à quitter le pays sans délai », affirme l’ambassade de France à Addis-Abeba dans un courriel envoyé aux membres de la communauté française.

      L’ambassade, qui dit prendre cette décision au vu de « l’évolution de la situation militaire », ajoute prévoir de faciliter le départ des ressortissants sur des vols commerciaux en réservant des sièges et, « si nécessaire », d’affréter un vol charter. Avant la France, plusieurs pays, dont le Royaume-Uni et les Etats-Unis, ont exhorté leurs citoyens à quitter le pays. Ces derniers ont également évacué leur personnel non essentiel. Un responsable de l’ambassade a déclaré à l’AFP que des départs « volontaires » du personnel pourraient avoir lieu, notamment parmi les familles.

    • lundi 22 novembre
    • Côte d’Ivoire : Ouattara, Soro, Bédié, Gbagbo, un dialogue avec qui et pour quoi faire ?

      - 17h26

      Le Premier ministre ivoirien, Patrick Achi, a annoncé la reprise du dialogue politique dès le mois de décembre. Si l’initiative fait l’unanimité, ses modalités et les sujets à aborder pourraient déjà constituer un blocage. La scène qui s’est jouée le 27 juillet augurait-elle des annonces qu’allait faire, quatre mois plus tard, Patrick Achi ?

      Ce jour-là, Alassane Ouattara et Laurent Gbagbo se retrouvaient pour la première fois depuis dix ans, se donnant l’accolade et promettant de travailler au dialogue et à la cohésion nationale. Début novembre, devant la presse, le Premier ministre annonçait que le dossier lui avait été confié et qu’il allait, dès le mois de décembre, s’entretenir avec les différents partis.

      Une décision unanimement saluée par l’ensemble des acteurs politiques, qui préparent déjà leur participation à ce rendez-vous. Henri Konan Bédié a ainsi nommé Noël Akossi-Bendjo comme conseiller spécial chargé de la réconciliation. Il devra fournir à l’ancien président les éléments qui permettront au Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) de prendre une part active aux discussions.

    • Afrique : le recul de la démocratie inquiète les USA

      - 16h47

      Transition au Mali et en Guinée, sécurité au Sahel, crise autour du Sahara, investissements dans les infrastructures… Depuis Dakar, dernière étape de sa première tournée en Afrique, le patron de la diplomatie américaine a répondu aux questions de Jeune Afrique. On le sait, Washington y a perdu du terrain, notamment face à Pékin. En RDC, où se trouvent les plus importantes mines de cobalt au monde, ce sont par exemple les entreprises chinoises qui détiennent cette ressource indispensable à la production de véhicules électriques, en plein essor.

    • mercredi 03 novembre
    • Centrafrique : la garde présidentielle blesse 10 casques bleus

      - 15h02

      La garde présidentielle centrafricaine a ouvert le feu sur le bus des casques bleus blessant 10 d’entre eux, a déploré mardi l’ONU. L’organisation mondiale a qualifié l’acte comme « une attaque délibérée et inqualifiable » en le condamnant.

      Les services du président Faustin-Archange Touadéra ont en plutôt accusé les militaires égyptiens d’avoir pris des photos de la résidence du chef de l’Etat, ce qui est interdit, et d’avoir refusé d’arrêter leur véhicule. Une fille de 12 ans a été heurtée par le minibus et tuée « dans leur fuite », selon la présidence, a relayé Sahel intelligence.

      Le bus contenait « les éléments de l’Unité de Police Constituée égyptienne ». Ces derniers « ont essuyé des tirs nourris de la garde présidentielle sans sommation préalable ni riposte aucune, alors qu’ils n’étaient pas armés », a assuré l’ONU dans un communiqué. Deux d’entre eux ont été grièvement blessés.

    • Can 2021 : la VAR introduite à la phase des groupes

      - 10h16

      Lors de la prochaine Coupe d’Afrique des Nations qui se jouera du 09 janvier au 06 février 2022 au Cameroun, les arbitres se serviront de la  VAR dès la phase des poules. L’innovation vient marquer la différence avec l’édition précédente. La dernière CAN avait lieu avec l’usage de l’assistance vidéo à l’arbitrage dès les quarts de finales. Les fédérations sont au courant de cette information innovante depuis la semaine dernière.

    • jeudi 14 octobre
    • USA-Kenya : Uhuru Kenyatta premier président africain à rendre visite à Joe Biden

      - 10h16

      Uhuru Kenyatta est le premier président africain à être reçu par le président des États Unis d’Amérique Joe Biden. Le chef d’État kényan va s’entretenir aujourd’hui à la Maison blanche avec son homologue américain. Les deux hommes évoqueront le changement climatique la défense de la démocratie ou encore le commerce international. Ils devront également aborder le sujet des frontières maritimes avec la Somalie, un différend qui dure depuis plusieurs années et qui s’est soldé mardi dernier par une décision de la CIJ donnant raison à la Somalie.

    • Congo-Covid-19 : les cérémonies de mariages interdites

      - 10h14

      Alors que le pays fait face à une troisième vague de coronavirus, due selon le gouvernement à un relâchement dans l’observance des mesures-barrière, l’État d’urgence a été prolongé pour la 28ème fois consécutive. Une nouvelle mesure vient d’être prise, l’interdiction pendant 45 jours des cérémonies de mariage. Il s’agit des mariages civils, religieux et coutumiers. Cette interdiction vise à minimiser le risque de propagation du virus au sein de la population.

    • mercredi 13 octobre
    • Centrafrique-CPI : début des audiences de confirmation de charge contre Mahamat Saïd Abdel Kani

      - 13h04

      Mahamat Saïd Abdel Kani va-t-il devenir le premier Seleca à être jugé à la Haye ? c’est ce sur quoi planche la Cour Pénale Internationale cette semaine. Des audiences de confirmation de charges ont démarré mardi le 12 octobre. Au total 14 chefs d’accusation de crimes de guerre et crimes contre l’humanité sur lesquels la justice doit se prononcer. Des crimes que le principal intéressé aurait commis à Bangui entre avril et novembre 2013 pendant, alors qu’il dirigeait plusieurs organismes de sécurité importants.

    • Désaccord Kenya-Somalie, la CIJ donne raison à la Somalie

      - 13h03

      La justice internationale tranche un différend qui dure depuis 2014. Hier la CIJ a donné raison à la Somalie dans le désaccord qui l’oppose au Kenya concernant la majeure partie d’une zone maritime contestée. Cette région qui s’étend sur plus de 100 mille Km2 est revendiquée par la Somalie. Mais elle est actuellement exploitée par le Kenya. La zone pourrait être riche en hydrocarbures. Elle abrite aussi d’importantes ressources en poissons. Chez les petits pécheurs kenyans de l’archipel de Lamou, la décision de la CIJ suscite à la fois de la colère et de l’inquiétude. Le Kenya a totalement rejeté l’arrêt de la Cour.

    • vendredi 08 octobre
    • Nigéria : les forces de sécurité libèrent près de 200 otages

      - 17h32

      Au Nigeria, les forces de sécurité ont libéré 187 personnes enlevées lors de raids sur des camps tenus par des bandes criminelles dans des forêts du nord-ouest du pays, a déclaré la police, jeudi 7 octobre. Les victimes secourues, dont 187 hommes, femmes et enfants, ont été libérées dans l’État de Zamfara, où elles avaient été enlevées lors d’attaques distinctes de gangs.

      Des groupes lourdement armés sévissent depuis des années dans le nord-ouest et le centre du Nigeria, procédant notamment à des enlèvements contre rançons. La police a publié des photographies montrant des dizaines d’hommes, de femmes et d’enfants assis, recroquevillés sur le sol, après leur libération.

      Les victimes, « qui ont passé de nombreuses semaines en captivité, ont été libérées sans condition à l’issue de vastes opérations de recherche et de sauvetage qui ont duré des heures », a déclaré Mohammed Shehu, porte-parole de la police de l’État de Zamfara, dans un communiqué. Ce sauvetage s’inscrit dans le cadre d’une vaste opération militaire, menée depuis plusieurs semaines dans l’État de Zamfara et dans d’autres États du nord-ouest, qui a notamment consisté à interrompre les télécommunications afin de perturber les communications des ravisseurs.

    • Libye : divergence après l’adoption d’une loi pour les élections

      - 17h29

      Le Parlement libyen a annoncé ce mardi 5 octobre qu’il souhaitait maintenir l’élection présidentielle à la date prévue du 24 décembre prochain, mais qu’en revanche, les législatives seraient reportées à la fin janvier 2022. Cette décision rebat de nouveau les cartes des élections, qui semblent de plus en plus hypothétiques.

      Des tensions ont surgi récemment entre les institutions dirigeantes, en raison de divergences survenues après l’adoption des lois électorales. Conformément à la feuille de route établie sous l’égide de l’ONU, pour aider la Libye à sortir de la crise politique, le double scrutin, présidentiel et législatif devait avoir lieu le 24 décembre.

      Le Parlement libyen a donc créé la surprise en annonçant unilatéralement le report de la date des législatives. La pression de la communauté internationale sur les dirigeants libyens en vue de l’organisation de ces élections est énorme. Mais cette volonté se heurte, selon le chercheur Jalel Harchaoui à une forte résistance de la classe politique libyenne…

    • France-Afrique : ouverture du 28e sommet en France sans les présidents africains

      - 17h25

      Le sommet Afrique-France qui s’ouvre ce vendredi 8 octobre à Montpellier est le 28e du genre, mais le premier pour le président Emmanuel Macron. Pour marquer la différence avec les précédentes rencontres, l’accent a été mis sur les échanges avec et entre les sociétés civiles africaines, françaises et sur la diaspora. Pour la première fois depuis la création en 1973 de la première rencontre réunissant des dirigeants africains et l’ex-puissance coloniale, les chefs d’État ne sont pas conviés.

      Aujourd’hui, ce qui est proposé n’est, ni plus ni moins, qu’une sorte de sommet renversé « où ceux qui, d’habitude, ne sont pas souvent invités, seront au cœur de l’événement. Ceux qui, d’habitude, écoutent la parole des institutionnels, des autorités, des chefs d’État, auront la parole », parie l’Élysée. À cette occasion, un panel de douze jeunes a été sélectionné pour dialoguer avec le président Macron. Charge aux convives du chef de l’État de l’interroger. « Sans tabou », insiste-t-on en haut lieu.

    • mercredi 06 octobre
    • Cameroun : les séparatistes attaquent le Premier ministre Dion Ngute

      journaldubenin.com - 11h39

      Les séparatistes anglophones ont attaqué hier la délégation conduite par la Premier ministre Joseph Dion Ngute à Bamenda. C’était lors d’une cérémonie d’accueil du chef du gouvernement dans la région du Nord-Ouest Cameroun en proie à la crise socio-politique et sécuritaire depuis 2016. Joseph Dion Ngute est allé sur la terrain en compagnie d’une délégation pour évaluer la mise en œuvre des résolutions du Grand dialogue national. Pendant qu’il tenait un discours au centre-ville de Bamenda, les séparatistes ont ouvert le feu. C’est sur protection de sa garde rapprochée que le Premier ministre a été conduit dans son véhicule.

    • mardi 05 octobre
    • Centrafrique : quatre morts dans l’explosion d’une mine

      journal du Bénin et CESA - 18h06

      Quatre personnes ont été tuées dimanche par un engin explosif au passage de leur moto, dans le nord-ouest de la Centrafrique, en proie à des combats entre des rebelles et l’armée, a déclaré lundi à l’AFP le préfet de la région. « Une moto a sauté sur une mine terrestre dimanche vers 08H00 près de la commune de Yémé », à 600 km au nord-ouest de la capitale Bangui, a déclaré à l’AFP Dieudonné Youngaïna, préfet de l’Ouham-Pendé.

      « Quatre personnes sont mortes et un bébé est rescapé », a-t-il poursuivi. « Les mines sont un vrai problème », a déploré M. Youngaïna. « Entre janvier et août 2021, 27 incidents impliquant des engins explosifs ont coûté la vie à au moins 14 civils et ont blessé 21 civils et deux casques bleus des Nations Unies dans l’ouest du pays », avait souligné le 10 septembre Denise Brown, la coordinatrice humanitaire de l’ONU en Centrafrique. Un travailleur humanitaire centrafricain employé par une ONG danoise avait été tué le 9 septembre après le passage de son véhicule sur un engin explosif, toujours dans le nord-ouest du pays.

    • Burkina Faso : 14 soldats tués lors d’une attaque dans le Centre-Nord

      Journa du Bénin et CESA - 18h03

       

      C’est très tôt lundi matin vers 5 heures, selon nos sources, que des hommes armés ont lancé un assaut contre le détachement militaire de Yirgou. Selon le ministère de la Défense, c’est une attaque terroriste qui a visé les soldats burkinabés. « Face aux assaillants venus en grand nombre et lourdement armé, les militaires burkinabès ont fait preuve d’une grande combativité en leur opposant une riposte vigoureuse », a réagi le ministre délégué à la Défense. Les assaillants seraient venus à moto et avec des pick-up.

      Suite aux échanges de tirs, au moins quatorze militaires ont été tués, et plusieurs blessés ont été enregistrés. Tous les blessés ont été évacués dans la localité de Foubé, située à une soixantaine de kilomètres au nord de la commune de Barsalogho, pour leur prise en charge. « Un important lot de matériels » appartenant à l’armée a été emporté par les assaillants, confie, sans plus de précisions, une source sécuritaire. Une autre source indique que quatre véhicules pick-up, une ambulance, des motocyclettes, des armes collectives et des munitions ont été emportés par les assaillants. Ils ont également incendié un véhicule blindé de type Cobra et d’autres matériels avant de quitter le site du détachement militaire, selon nos sources. La contre-offensive terrestre et aérienne déclenchée a permis de neutraliser plusieurs terroristes, selon le général Aimé Barthelemy Simporé.

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