Plusieurs centaines de plateaux d’œufs de table avariés détruits à Djakotomey

La direction départementale de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche du département du Couffo a, dans le cadre du contrôle sanitaire de l’alimentation, détruit le mois dernier plus de trois cents (300) plateaux d’œufs avariés produits à Djakotomey, a appris jeudi l’ABP.

Les œufs de table détruits selon la directrice Madeleine Lafia Mora, sont ceux localement produits dans la commune de Djakotomey par les fermiers. Ces œufs, à cause de la mévente liée à la pandémie de Covid-19 n’ont pas été vendus.

Pour éviter qu’ils ne soient déversés sur le marché,les 307 plateaux d’œufs d’une valeur financière de 9 210 F CFA ont été détruits en présence des cadres de la direction départementale de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche avec l’appui de la police républicaine.

Les producteurs de Banikoara appellent à un second mandat de Talon

Les cotonculteurs de la commune de Banikoara ont organisé ce jeudi à la salle des fêtes de l’union communale des producteurs de coton une séance d’information des membres pour appeler le président Talon à briguer un second mandat.

À en croire le président national des producteurs de coton Gani badou TAMOU,  » les bonnes réformes opérées dans le secteur cotonnier ont permis de faire des bonds significatif et d’améliorer les conditions de travail et de vie des producteurs. c’est pourquoi ces efforts du chefs de l’État doivent être soutenu et pérennisé » d’où la nécessité a-t-il conclu d’un appel à un nouveau mandat.

Le deuxième adjoint au maire de Banikoara, Alou Toko N’douro, représentant le maire a promis de rendre compte à qui de droit pour que l’appel des braves cotonculteurs de Banikoara ne tombe pas dans les oreilles de sourd.

Le PADAC s’imprègne de l’évolution de ses chantiers

En compagnie d’une représentante de l’AFD, son bailleur de fonds, le coordonnateur du projet d’appui au développement agricole des Collines (PADAC) et ses collaborateurs ont effectué mercredi et jeudi, une tournée sur des chantiers financés par le projet à Savalou et Glazoué, en vue de constater l’état d’avancement et le fonctionnement des chantiers.

Pendant les deux jours de tournée, la délégation conjointement conduite par Bertin Tamègnon et Ouorou N’gobi Agathe respectivement coordinateur du PADAC et chargée de mission agriculture – environnement de l’agence française de développement (AFD), a visité successivement le chantier de construction du marché à bétails de Doumè, l’unité privée de production de jus de pomme de cajou de Savalou, le chantier de construction de quatre boutiques à Savalou, l’aire de séchage du groupement de femmes Sonagnon de Logozohè dans la commune de Savalou, la pépinière privée de plants greffés d’anacardiers, les travaux du système d’irrigation après forage positif des femmes maraichères de Kpakpaza, les équipements de réhabilitation des vieilles plantations d’anacardiers dans la commune de Glazoué.

Des constats et observations ont été faits à chaque étape.

Sur le chantier du marché à bétails par exemple, il est prévu la construction d’une clôture de 150 m sur 105 m, un château d’eau, trois hangars de huit places, un bloc administratif, un quai d’embarquement et de débarquement, des abreuvoirs, douches et latrines, des dalots d’accès.

A ce jour il ne reste que « l’aménagement externe de la clôture, la finition du château et l’équipement en électricité » promet le chef du chantier, Trinité Assogba.

Au niveau de l’unité de production de jus de pomme de cajou, le promoteur, Crépin Arouna a promis « prendre en compte les remarques et observations des techniciens de la délégation pour vite rentabiliser l’investissement ».

Les femmes de Logozohè qui ont bénéficié d’un appui financier de la part du PADAC ont réalisé une aire de séchage avec un mini magasin de stockage de produits, un atelier de transformation de produits à base de manioc. L’ouvrage de 2.900.000 F CFA avec leur contrepartie est déjà achevé et provisoirement réceptionné.

Au quartier Makinnon à Savalou, avec l’appui du PADAC, quatre boutiques ont été réalisées et achevées. Les membres de la délégation ont pu visiter la réalisation faite sur la gare routière située dans le contournement de la ville de Savalou.

A Glazoué la délégation a visité, les travaux du système d’irrigation au profit de femmes maraîchères de Kpakpaza. Le forage réalisé sur les installations est positif. Les travaux sont provisoirement réceptionnés de même que les équipements de réhabilitation des vieilles plantations d’anacardiers de Glazoué.

Les membres de la délégation se sont aussi rendus dans la pépinière de plants greffés d’anacardiers du producteur privé Goudègnon Akakpo.

C’est une pépinière dont « la capacité de production est estimée à 50.000 plants greffés d’anacardiers » par le promoteur en personne.

Il a été accompagné par le PADAC depuis 2018 avec la réalisation d’un forage équipé, une clôture grillagée pour la sécurisation des plants avec un financement de 5. 640.000 F CFA à hauteur de 80%, lui-même ayant apporté 15% de ce financement.

Pour le responsable investissement agricole du projet, « les constats sont très encourageants. L’espoir est largement permis, les objectifs seront atteints ».

Le coordonnateur du PADAC, Bertin Tamègnon, faisant le point de la tournée, s’est « réjoui de ce qu’il a vu sur le chantier de construction du marché à bétails de Doumè où l’entreprise à charge des travaux est largement en avance sur le délai d’exécution avec des travaux de très bonnes qualités ». M. Tamègnon s’est aussi dit « émerveillé par les efforts du pépiniériste de Glazoué qui a donné raison aux cadres techniques du projet de croire en lui ».

Santé, économie et administration au menu des quotidiens marocains

Les quotidiens marocains parus ce vendredi consacrent leurs commentaires à la crise pandémique de Covid-19, au rôle du « made in Morocco » et au télétravail dans les administrations publiques.+Aujourd’hui le Maroc+ écrit qu’après le respirateur artificiel et le lit médical, l’épopée du « made in Morocco » continue avec l’annonce du lancement de la production du test PCR Covid-19, 100% marocain.

Au-delà du fait que cette innovation va permettre au pays de mieux répondre à la demande locale en matière de tests, cette prouesse est également de nature à consolider la confiance dans le « made in Morocco », poursuit le quotidien, notant qu’une première commande de 100.000 tests a été faite par le ministère de la santé.

Dans un monde en pleine tourmente à cause de la pandémie du coronavirus, il va falloir dès maintenant penser au futur de sorte à renforcer la capacité de production de l’économie locale, préconise-t-il, soulignant que le but est de créer une certaine indépendance vis-à-vis du marché international qui risque de souffrir encore plus longtemps des séquelles de la Covid-19.

« Avons-nous passé le «pic de la pandémie ou pas? », lance de son côté +l’Economiste+, expliquant que le pic est le moment où une personne contaminée contamine moins d’une autre personne.

« Statistiquement, l’épidémie commence à décliner. En principe ce déclin s’accélère. C’est ce qui s’est passé globalement en Europe », relève la publication, soulignant qu’au Maroc, nous avons eu, par moments, de telles situations positives.

Malheureusement, les circonstances se sont vite retournées, souvent à cause d’un cluster, fait-il observer, notant que l’état d’urgence aidant, la seule réponse à ces retournements de tendance a été de serrer un peu plus la vis et de créer des frontières internes, en plus des frontières extérieures.

Dans la même lignée, +Al Bayane+ écrit que la levée progressive du confinement est sans doute, devenue une nécessité pour limiter les dégâts nocifs, produits par la propagation du virus, estimant qu’un éventuel retour au cantonnement serait synonyme de désastre économique et marasme social.

Pour limiter l’impact sanitaire et économique de la pandémie, toutes les composantes de l’exécutif sont amenées à réagir de concert avec d’autres instances de l’Etat, soutient le journal, relevant, « à contrario, une quasi-démission, en matière de concorde et d’entente en son sein. On a plutôt l’impression que la fausse note qui découle de sa partition, est entachée de cacophonie, en raison de l’effacement exaspérant de son chef d’orchestre ».

+Al Akhbar+ estime que la pandémie du coronavirus au Maroc aura au moins permis de donner un sérieux coup d’accélération à la transformation digitale de nos administrations.

Citant des sources informées, le quotidien rapporte que le ministère de l’Economie, des finances et de la réforme de l’administration a déposé au Secrétariat général du gouvernement un projet de décret portant sur le travail à distance dans les administrations publiques. Ceci, en vue de son adaptation pour une future présentation devant le Conseil de gouvernement.

Selon le secrétaire général du secteur de la fonction publique et de la réforme de l’administration au sein du ministère des Finances, l’élaboration de ce texte est achevée et qu’il ne reste plus que sa validation par l’Exécutif. Et d’ajouter qu’il s’agit d’un projet sur lequel de nombreux départements ministériels ont planché après la présentation d’une première mouture, revue et corrigée au fil des remarques.

Le projet de décret réglemente tous les aspects relatifs à la possibilité de travailler à distance pour les cadres et fonctionnaires de l’administration publique en plus des conditions à respecter le cas échéant.

Une des contraintes posées lors de l’élaboration de ce texte a été la protection des droits des fonctionnaires mais aussi les spécificités relatives à certaines fonctions, notamment celles en lien direct avec les services rendus aux citoyens ou encore celles où la confidentialité des données est de mise. Sans parler de l’impératif de la continuité de service dans l’administration publique, fait savoir la publication.

La politique parmi les sujets en exergue dans la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais reçus ce vendredi à APA traitent, entre autres sujets, de l’actualité politique dominée par la poursuite du dialogue politique qui achoppe sur les critères de désignation du chef de l’opposition. »Le choix du chef de l’opposition grippe encore le dialogue politique: La majorité vote Idy, l’opposition dit niet, la société civile démonte le pouvoir », titre Les Échos. Selon nos confrères, la majorité propose que celui arrivé 2e à la présidentielle soit désigné, mais que les autres pôles, arguments-massues, rejettent cette proposition.

Après la « dissonance dans la désignation du chef de l’opposition », L’As informe que le président de la République, Macky Sall est obligé de trancher. 

Toutes choses qui font dire à EnQuête que « Macky Sall hérite de la patate chaude » car, l’opposition et les non-alignés ont décidé de ne pas désigner le chef de l’opposition. Ce journal indique que la mouvance présidentielle veut que celui arrivé 2e à la présidentielle soit désigné chef de l’opposition. EnQuête annonce également la création d’un Observatoire de la démocratie pour prévenir les conflits politiques.

« Critères de désignation du chef de l’opposition: Carte blanche à la majorité », renchérit Sud Quotidien à sa Une.

Parlant des élections locales de mars 2021 à la Une du Quotidien, le ministre de l’Intérieur, « Aly Ngouille Ndiaye souffle un report » et affirme que « tout dépend de l’audit du fichier et de l’évaluation du processus ».

« Tenue ou non du Magal de Touba 2020: Aly Ngouille Ndiaye s’en remet à Serigne Mountakha », titre Vox Populi. Dans le journal, le ministre précise: « Ce n’est pas moi qui organise le Magal. Serigne Mountakha prendra les mesures qu’il faut ».

Pendant ce temps, Le Témoin s’intéresse à la lutte contre les inondations et révèle « 750 milliards f cfa engloutis dans les eaux ». Il rappelle qu’en 2012, le chef de l’Etat lançait un programme censé éradiquer les inondations en 10 ans, mais deux ans avant son terme, les inondations sont toujours omniprésentes.

L’Info reste à la société de transport public Dakar Dem Dikk et indique que « les syndicats veulent fouiller Me Moussa Diop (ex Directeur général limogé mercredi dernier) ». Ce qui fait dire à L’Exclusif que « les choses se corsent pour Me Moussa Diop » et que « la machine de la liquidation (est mise) en branle ».

De son côté, L’Observateur révèle « les secrets de vie du nouveau Dg de Dakar Dem Dikk », Oumar Boun Khatab Sylla.

Présidentielle ivoirienne: les commissions électorales locales seront installées à partir du 15 septembre prochain

Les Commissions électorales locales ivoiriennes et l’élection des membres de leurs bureaux respectifs à l’échelon régional, départemental, sous-préfectoral et communal seront installées à partir du 15 septembre prochain sur toute l’étendue du territoire national, a appris APA jeudi auprès de la Commission électorale indépendante ( CEI, organe électoral en Côte d’Ivoire).« Il sera procédé à partir du 15 septembre 2020 à l’installation des commissions électorales locales et à l’élection des membres de leurs bureaux respectifs, à l’échelon régional, départemental, sous-préfectoral et communal sur toute l’étendue du territoire national ainsi que dans les commissions électorales des représentations diplomatiques à l’étranger», a annoncé l’institution électorale ivoirienne dans un communiqué. 

Par conséquent, la CEI a invité les partis et groupements politiques et le ministère de l’administration du territoire et de la décentralisation à proposer ou à confirmer, auprès de son secrétariat permanent la liste de leurs représentants dans les commissions électorales locales et à l’étranger au plus tard le 10 septembre 2020. 

Fin juillet dernier le gouvernement ivoirien a marqué son accord pour la recomposition des commissions locales de la Commission électorale indépendante ( CEI) comme prescrit par l’arrêt du 15 juillet 2020 de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples dans l’affaire dite Suy Bi Gohoré Émile et autres contre la République de Côte d’Ivoire. 

L’opposition ivoirienne, rappelle-t-on, avait saisi auparavant cette juridiction africaine estimant que la CEI est déséquilibrée en faveur de la coalition au pouvoir.

Institution d’un prix Ebony pour la presse numérique en Côte d’Ivoire

l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire ( UNJCI), la faîtière des organisations professionnelles des médias ivoiriens, a annoncé jeudi à Abidjan, l’institution d’un « prix Ebony» pour récompenser le meilleur journaliste de la presse numérique portant à quatre ( Ebony presse écrite, Ebony Radio et Ebony Télé), les prix devant concourir pour la 22è édition du « Week-end des Ebony» prévue du 04 au 06 décembre prochain à Yamoussoukro, la capitale politique ivoirienne.La soirée des Ebony rebaptisée désormais « Week-end des Ebony» est une cérémonie de distinction des meilleurs journalistes ivoiriens de l’année écoulée. « Il y a une innovation majeure cette année. Nous aurons le prix Ebony de la presse numérique qui va porter à quatre les prix en compétition pour le super Ebony», a indiqué Jean-Claude Coulibaly, le président de l’UNJCI dans une conférence de presse. 

Énumérant les différentes récompenses de ce concours, M. Coulibaly a fait savoir que plusieurs prix sectoriels seront décernés au  cours de cette édition. Il a cité entre autres, le prix spécial Diegou Bailly de la meilleure enquête, le prix Nady Rayess du meilleur journaliste en économie, le prix du meilleur présentateur du journal télévisé, le prix pour la promotion des transports, le prix de la meilleure entreprise de presse et le prix de la cohésion sociale et de solidarité. 

Poursuivant, le président de l’UNJCI, a souligné que les articles de presse qui seront pris en compte par le jury sont ceux qui ont été publiés et diffusés du 05 novembre 2019 au 05 novembre 2020. Il a ajouté que la période de dépôt des candidatures s’ouvre à partir du 1er octobre prochain. 

« L’objectif pour nous, c’est de valoriser notre métier. C’est de mettre en lumière les meilleures d’entre nous. Ebony est un prix très crédible car tout se fait dans la transparence», a soutenu M. Coulibaly. 

Pour sa part, Marie-Laure N’Goran, la présidente du comité d’organisation des Ebony 2020, a précisé que plusieurs activités meubleront cette édition dont un panel qui sera animé par un journaliste, un homme politique et un acteur de la société civile.

 La 22ème édition des Ebony qui a été lancée officiellement le jeudi 27 août dernier à Abidjan, se tiendra du 04 au 06 décembre prochain à Yamoussoukro, la capitale politique et administrative ivoirienne autour du thème : « Quel journalisme pour une Côte d’Ivoire rassemblée ? ». 

Institué en 1998, le « Prix Ebony» du nom du célèbre journaliste ivoirien Noël X. Ebony organisé par l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), est la nuit la plus prestigieuse du journalisme en Côte d’Ivoire et récompense chaque année les meilleurs journalistes ivoiriens.

Huit morts dans un accident de la circulation sur la route de N’Dotré au Nord d’Abidjan

Une collision entre un mini-car de transport en commun et un camion survenue jeudi soir sur la route de N’Dotré après le stade Ebimpé au Nord d’Abidjan, a fait 15 victimes dont huit décès certains et sept blessés graves, a appris APA jeudi auprès du Groupement des sapeurs-pompiers militaires ( GSPM).Dans une note d’information, les « Soldats du feu» ont  précisé que le drame s’est produit aux environs de 18h50 minutes ( heure locale et GMT). 

La surcharge, l’état des routes et l’imprudence des conducteurs sont généralement à l’origine de 94% des accidents de la route qui surviennent en Côte d’Ivoire où en 2019,  les accidents de la circulation ont fait 24 907 victimes dont 537 morts dans le pays.

Le Conseil constitutionnel ivoirien reçoit 44 candidatures pour l’élection présidentielle

Le Conseil constitutionnel de Côte d’Ivoire a annoncé jeudi avoir reçu les dossiers de candidatures des candidats à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020, dans un communiqué qui fait état de 44 candidatures officiellement déposées.« Le 03 septembre 2020, à 15 heures 28 minutes (GMT, locale), le Conseil constitutionnel a reçu de la Commission électorale indépendante (CEI) les déclarations de candidature à l’élection du président de la République du 31 octobre 2020 », précise un communiqué transmis à APA. 

Parmi les personnalités dont les dossiers de candidatures ont été déposées , l’on enregistre le président sortant Alassane Ouattara, les ex-chefs d’Etat Laurent Gbagbo et Henri Konan Bédié, puis la candidature de l’ex-président de l’Assemblée nationale, Guillaume Soro. 

Conformément à l’article 56 du Code électoral, les candidats et les partis ou groupements politiques les parrainant, disposent d’un délai de soixante-douze heures à compter de la présente publication pour présenter leurs réclamations ou observations, souligne le texte.

A l’expiration du délai de soixante-douze heures, soit le dimanche 06 septembre 2020 à 18 heures, plus aucune réclamation ou observation ne sera reçue, et le Conseil constitutionnel entrera en délibération sur les dossiers enregistrés afin d’établir la liste définitive des candidats, poursuit le texte.

Le Conseil Constitutionnel mentionne toutefois que conformément à l’article 56 du Code électoral sus-indiqué, seuls les candidats à cette élection, ou les partis ou groupements politiques les parrainant, sont autorisés à formuler des réclamations ou observations sur les candidatures.

Éthiopie : les résultats des tests Covid-19 envoyés par SMS

L’Institut éthiopien de santé publique a lancé jeudi un nouveau système de service SMS dans lequel les gens peuvent connaître les résultats de leur test Covid-19 via leur téléphone portable.Le directeur des urgences de santé publique de l’institut, Meseud Mohammed, a déclaré que le système aidera l’institut à fournir les résultats du test Covid-19 dans les trois heures suivant la livraison des échantillons de sang, a-t-il noté.

 Le directeur a déclaré que des projets sont également en cours pour lancer un système qui aidera les professionnels médicaux travaillant dans les centres de traitement de la Covid-19 à informer l’institut sur les patients présentant des symptômes du coronavirus.

 Mercredi, l’Ethiopie a enregistré 1105 nouveaux cas de Covid-19, portant le nombre total d’infections à 54.409.

 Les nouveaux cas ont été identifiés parmi les 21.360 tests de laboratoire effectués en 24 heures. 

 Le pays a également fait état de 18 décès dus au virus le même jour, ce qui porte le nombre de décès à 846.

 Quelque 416 patients se sont rétablis du virus, ce qui porte le nombre total de guérisons à 19 903.

 Le pays a jusqu’à présent effectué 949 813 tests de laboratoire.